ananke

«Ananké» s'inscrit dans la lignée des horloges à cadran, au regard des instruments d'une époque où la mesure du temps étaient liées à l'observation des mouvements célestes ; où le temps était senti, apprécié et les rendez-vous à heure fixe improbables. Hors ici nulle aiguille, la roue du temps sans axe s'impose fixe. Deux curseurs rejetés en orbite gravitent et indiquent une position. La lecture du temps est mise à distance, relative, périphérique. L'objet échappe à sa tyrannie et le temps suit son cours."